Pourquoi ne pas faire des travaux la nuit ou pendant les vacances ?
Pour ces travaux en particulier, le Département avance qu’une activité nocturne n’aurait pas été une solution : la mise en place du dispositif de séparation entre le chantier et la voie aurait pris plus de temps qu’il n’en aurait fait gagner. Le Département indique aussi qu’une activité nocturne aurait posé des risques de sécurité importants, tant pour les personnes intervenant sur le chantier que pour le public.
Concernant un report pendant les vacances, c’est déjà le cas pour ces travaux en particulier, dont les phases les plus gênantes sont programmées en juillet et en août. L’opération est d’une ampleur telle qu’elle ne pouvait pas ne pas « déborder » au-delà des seuls mois de juillet et d’août, vu la quantité et la lourdeur des travaux à réaliser.
De façon générale, quels que soient les travaux, le moment est rarement idéal. Les collectivités œuvrent pour minimiser la gêne autant que possible, sans pouvoir totalement l’éliminer, par la nature des travaux. Il faut donc garder en tête l’objectif des chantiers de voirie en général : améliorer vos conditions de circulation et votre sécurité à terme.
Pourquoi ne pas rétablir la circulation en dehors des heures d’activité du chantier ?
Sur ces travaux en particulier, le Département indique que la mise en place du dispositif de séparation entre le chantier et la voie prend 6 heures à elle seule, et ferait donc perdre plus de temps qu’elle n’en ferait gagner, globalement.
De façon plus générale, certains travaux sont incompatibles avec une circulation en dehors des heures d’activité du chantier. C’est notamment le cas lors d’une réfection de l’étanchéité de la chaussée, où cette dernière n’est pas suffisamment praticable, par exemple.
N’y a-t-il pas moyen d’améliorer la circulation malgré tout ?
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